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La réglette d’interactions médicamenteuses est un outil pratique conçu pour vérifier les interactions entre votre traitement VIH ou VHC et les autres médicaments, les différentes drogues récréatives, ainsi que certaines plantes utilisées en phytothérapie que vous seriez amené·e à prendre.

Cette réglette n’est pas un outil de diagnostic ni un dispositif médical, elle n’a pas vocation à se substituer à l’avis de votre médecin ou pharmacien·ne. En cas de doute, demandez conseil à un·e professionnel·le de santé.

La réglette d’interactions médicamenteuses existe aussi :

Comment ça marche ?

Les médicaments et plantes sont présentés sous leur nom de substance active appelé DCI (Dénomination commune internationale) et sous leur nom commercial ; les drogues sous le nom de substance psychoactive ou leur nom d’usage. Si vous ne trouvez pas le nom commercial de votre médicament, retrouvez sa DCI sur la page de présentation des médicaments de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM).

Renseigner votre traitement antirétroviral (ARV) ou antiviral à action directe (AAD) puis le traitement dont vous souhaitez vérifier les interactions.

Si le resultat s'affiche :

  • en vert, il n'y en a pas,
  • en jaune, une interaction est possible et des précautions sont à prendre,
  • en rouge, l'association est déconseillée,
  • en blanc, il n'y a pas de données disponibles dans les bases consultées.

Les sources utilisées pour élaborer et actutaliser ces tables sont en premier lieu le site d’interactions de l’université de Liverpool et la base de données pharmaceutiques Thériaque.

Cette réglette présente les médicaments les plus couramment prescrits dans les champs thérapeutiques suivants : douleur ; maladies infectieuses ; endocrinologie et diabète ; hypertension et pathologies cardiovasculaires ; pneumologie ; gynécologie (dont contraception) et urologie ; psychiatrie et neurologie (dont épilepsie) ; gastroentérologie… Les médicaments anti-cancéreux et immuno-modulateurs ne sont pas intégrés à ces tables.

La réglette comporte les difféntes molécules pour lesquelles il existe un risque d’interaction avec au moins un ARV ou AAD. Pour les interactions avec les combinaisons d’ARV : si les interactions varient avec les différentes molécules de la combinaison, c’est le degré d’interaction le plus fort qui a été retenu.